Anglais

Question

Bonjour, quelqu’un pourrait-il me traduire ce poème s’il vous plaît ?
Bonjour, quelqu’un pourrait-il me traduire ce poème s’il vous plaît ?

2 Réponse

  • O Yémen,
    Salutations à mon Yémen bien aimé
    Où les rivières pourpres/cramoisies coulent librement
    Et la puanteur du sang s’attarde dans l’air
    Où les échos des salles d’hôpital sont des pleurs de désespoir
    Et les enfants perdent leur innocence
    Où les pleurs d’une nation sont réduis au silence par le bruit des missiles
    Et les rires des enfants s’éteignent où les cimetières sont trop pleins de cadavres frais
    Et les gens commencent à passer plus de temps dans les cimetières qu’à leurs maisons
    Où les mères pleurent pour la vie de leurs enfants
    Et l’ange de la mort passe visite à tout le monde
    Où les mères souhaitent à leurs enfants de mourir avant elles
    Et les enfants prient pour la fin de leur souffrance
    Où les enfants sont le gagne pain de leurs familles
    Et les enfants de 3 ans doivent quémander à la rue pour être capables de vivre un jour de plus
    O mon Yémen bien aimé
    Je pris pour le jour où tes larmes sécheront
    Et où les rivières couleront bleues au lieu d’un rouge pourpre
    Où le son des rires prévaut
    Et où le son de la douleur n’est plus
  • Ô Yémen,
    Salutations à mon Yémen bien-aimé
    Où les rivières de pourpre coulent librement
    et la puanteur du sang s'attarde dans l'air
    où les halls d'hôpitaux résonnent de cris désespérés
    et les enfants perdent leur innocence
    où les cris d'une nation sont étouffés par le bruit des missiles
    et le rire des enfants ne devient plus là où les cimetières débordent de sang frais et où les gens commencent à passer plus de temps dans les cimetières que dans les maisons
    où les mères pleurent la vie de leurs enfants
    et l'ange de la mort rend visite à tous ceux où les mères veulent que leurs enfants les bercent
    et les enfants prient pour la fin de leurs souffrances où les enfants sont les soutiens de famille pour leurs familles
    et les enfants de 3 ans doivent mendier dans les rues pour pouvoir vivre un jour de plus
    Ô mon bien-aimé Yémen
    Je prie pour le jour où tes larmes se tariront
    Et tes rivières coulent en bleu au lieu de rouge cramoisi
    Où le son du rire prévaut
    Et le son de la douleur ne devient plus