Ex. 4 JE SAIS REPÉRER LES COMPLÉMENTS D'OBJET Dans le passage suivant, relevez les COD puis donnez leur classe grammaticale. NI Nous ne pouvons ni rapatrier les
Français
indiacnt
Question
Ex. 4 JE SAIS REPÉRER LES
COMPLÉMENTS D'OBJET
Dans le passage suivant, relevez les COD
puis donnez leur classe grammaticale.
NI
Nous ne pouvons ni rapatrier les blessés ni enterrer nos
morts. L'ordre était de tenir jusqu'à de nouvelles instruc-
tions. Il faut attendre. Les blessés essaient de se protéger
contre la pluie. Ils se serrent et frémissent de tout leur
corps. Et les morts, au fond des tranchées, se laissent sub-
merger par la vase. Leurs cheveux baignent dans la boue.
La pluie, petit à petit, les engloutit. Il faut attendre et
s'habituer à la présence silencieuse de ces cadavres que la
pluie ne
ne fait pas cligner des yeux ni le froid grelotter. Ils
nous tiennent compagnie. Ils nous tiennent.
L. Gaudé, Cris, Actes Sud, 2001.
COMPLÉMENTS D'OBJET
Dans le passage suivant, relevez les COD
puis donnez leur classe grammaticale.
NI
Nous ne pouvons ni rapatrier les blessés ni enterrer nos
morts. L'ordre était de tenir jusqu'à de nouvelles instruc-
tions. Il faut attendre. Les blessés essaient de se protéger
contre la pluie. Ils se serrent et frémissent de tout leur
corps. Et les morts, au fond des tranchées, se laissent sub-
merger par la vase. Leurs cheveux baignent dans la boue.
La pluie, petit à petit, les engloutit. Il faut attendre et
s'habituer à la présence silencieuse de ces cadavres que la
pluie ne
ne fait pas cligner des yeux ni le froid grelotter. Ils
nous tiennent compagnie. Ils nous tiennent.
L. Gaudé, Cris, Actes Sud, 2001.
1 Réponse
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1. Réponse comptemon160
bonsoir,
Nous ne pouvons ni rapatrier les blessés(groupe infinitif) ni enterrer nos
enterrer nosmorts (groupe infinitif). L'ordre était de tenir jusqu'à de nouvelles instruc-
tions. Il faut attendre. Les blessés essaient de se protéger
contre la pluie. Ils se serrent et frémissent de tout leur
corps. Et les morts, au fond des tranchées, se laissent submerger par la vase. Leurs cheveux baignent dans la boue.
La pluie, petit à petit, les engloutit. Il faut attendre et
s'habituer à la présence silencieuse de ces cadavres que la
pluie ne
ne fait pas cligner des yeux(groupe infinitif) ni le froid grelotter(infinitif). Ils
nous tiennent compagnie. Ils nous tiennent.